Être tante, c’est toute une chance. C’est assister et participer au développement de petits miracles.
Je ne me lasserai jamais d’admirer ces petits humains spontanés, persévérants et authentiques puisque ça me fascine de les voir se découvrir et se construire au fil des jours.
Il y a 21 mois, je suis devenue tante deux fois en l’espace de deux jours. Jusqu’à là, je n’avais jamais voulu tenir de nouveau-nés, mais je ne regrette pas d’avoir fait exception pour mes nièces, même si cela m’a fait verser quelques larmes (des larmes de gros bonheur). À la fois, si fragiles et si fortes, elles ont volé de gros morceaux de mon cœur en quelques secondes seulement.
Aujourd’hui, je ne cesse de m’émerveiller devant ces petits bouts de génie et mon rôle de tante me comble totalement. En fait, souvent, je suis heureuse de ne pas être dans les souliers de mon frère et de ma sœur. J’aime inconditionnellement mes nièces, mais le stade d’aimer sans limites des petits êtres sans en avoir la pleine responsabilité me plaît amplement.
Être tante, c’est participer au développement d’un enfant, c’est d’épauler les parents, c’est amortir la fatigue et l’inquiétude pour ramener des sourires et des fous rires.
Être tante, c’est beau et ça me suffit.
Arielle
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