Allo ma belle transition!
Comment ça va au niveau de ta discipline en ce moment?
Oufffff, est-ce qu’on peut passer à une autre question please…!
On dirait bien que je suis les relents de la nature moi là. C’est un peu de ce qui s’passe présentement dans mon quotidien. C’est le grand retour de ma vie d’artiste. J’l’aime tant cette facette remplie de découvertes. Ce segment qui se passe dans l’ombre de la création de contenu, de conférences, d’articles, de développement, d’ouvrages…
Justement, je suis allée à l’épicerie, tantôt j’feelais comme une alienne revenue sur Terre. La caissière « Comment ça va? Ça fait longtemps… » Ben oui, je sors de la grotte une fois de temps en temps question de courir les spéciaux… (ça, c’est une autre histoire d’adaptation à la réalité de l’inflation, mais bon!)
C’est aussi le moment où l’inspiration se pond un peu partout, dans mon bureau, sur mon lit, pendant la nuit, sur le divan…pendant ma marche et qui, quand ça sort, comme dirait Bon Jovi, « It’s now or Never »!
C’est spécial le sentiment qui m’habite. De se projeter à la rentrée 22-23 quand, au calendrier, c’est encore le 4e mois qui est inscrit… Chapeau à toi qui travailles dans les magazines devant créer du contenu de Noël en août!
L’affaire, c’est que j’entre dans un moment solitaire où l’inspiration de mes expériences passées nourrit le futur rapproché. Du jour au lendemain, je passe de relations humaines sur le terrain, pour exercer +++ une gymnastique cérébrale artistique.
Fun Fact – je suis la reine de la procrastination! Je passe de la femme préparée, « même over-préparée », à celle qui fonctionne sous la pression de la dernière minute.
Voilà la réponse à mon état! Je suis procrastinatrice parce qu’effectivement, le résultat n’est pas dans l’immédiat… J’agis aussi de la sorte parce que je me sens + seule à travers ce passage. J’ai plus de difficulté à bien gérer mon temps. De me motiver seule. T’sé l’estime de soi, ce n’est pas égal chaque jour, mais ces temps-ci, la variante est surprenante genre semblable à la température du mois d’avril. Hipellaille!
Ça m’fait du bien de l’écrire, de le laisser sortir cet inconfort parce qu’au fond, je le sais que c’est de passage et que je suis capable. Je trouve ça aussi normal d’avoir des doutes et d’être « shaker » un peu. Le produit que je livre, c’est une partie de moi… C’est ainsi que je vais aller encore + loin!
ME
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